Ladies Ballbreaker plays AC/DC + Lovesick Trio : En concert @Beauvais (60) le 19 mars 2024 dans le cadre du Blues Autour du Zinc

Publié : 28 février 2024 par Alain B. dans Musique, News
Tags : , , , , , , ,

Le Festival Blues Autour du Zinc accueillera Ladies Ballbreaker et Lovesick Trio lors La traditionnelle soirée « Blues au Féminin », le 19 mars 2024 à La Maladrerie Saint Lazare.

Ladies Ballbreaker, c’est un live teinté de mises en scène et d’humour plutôt gonflé, un show hommage à AC/DC bien sûr, mais où les 5 personnalités de ces power girls prennent place pour s’approprier  ce monument du hard-rock.

De salles en festivals, de Canal+ à France Inter, les Ladies ont conquis le coeur du public et ont entre autres partagé l’affiche avec Mika, Kyo, Skip the use, Johnny Clegg, Cock Robin, Michael Jones, Kendji Girac, Matmatah, Hyphen Hyphen, Igorrr, Mass Hystéria, KO KO MO, Norbert Krief

Avec plus de 300 concerts au compteur, dont 2 fois le Hellfest et plusieurs tournées européennes (Norvège, Espagne, Allemagne, Belgique, Suisse…), les « Dames Casse-Couilles » créent un ouragan scénique dont l’identité marquée propulse une énergie communicative !

Et d’ailleurs, pourquoi ce nom ? Pour le clin d’oeil à l’excellent album «Ballbreaker» et aussi parce que ce sont des filles qui en ont … :

Mathilde à la guitare solo aussi young qu’Angus, Céline au chant aussi Bon que Johnson, Laëza à la batterie au sourire à la grandeur de sa frappe, Cerise à la guitare rythmique et son headbang légendaire, Blandine à la basse, au fond du temps mais au devant de la scène.

Avec le groupe italien Lovesick Trio, offrez-vous une chevauchée fantastique vers l’Amérique des années 40 et 50, dans une ambiance country, rockabilly et western swing qui sent les effluves de whiskey et le bois des saloons.

Attention, Lovesick Trio, ce n’est pas du western spaghetti. On n’a pas le bon, la brute et le truand, mais un guitariste, une contrebassiste et un violoniste qui envoient un swing jazzy et dansant. Le trio a repris les clés de la ville, sans flinguer les pionniers, et il a renouvelé le répertoire avec des compositions originales conquérantes.

Lovesick, on aime ; c’est un bon remède contre l’austérité du shérif.