Dans une ambiance de festival d’été, le jardin du cloître de la bibliothèque Saint-Corneille de Compiègne accueillera, du mercredi 1er au dimanche 5 septembre, une série de concerts gratuits.
Dès leur premier album intitulé Cock Robin, sorti en 1985 le groupe originaire de San Francisco a connu un grand succès en France et en Europe. Des titres comme « When Your Heart Is Week » et « The Promise You Made » sont vite devenus des hits, tout comme « Just Around The Corner », autre tube sorti deux ans plus tard. Plus de trente ans de carrière et neuf albums plus tard, Cock Robin sera présent à Compiègne pour partager sa pop new wave et ses plus grands succès.
Clearwater Creedence Revival (Tribute). Retrouvez le son de l’Amérique de la fin des sixties, blues, country et rock avec ce tribute qui suit les traces du groupe emblématique de San Francisco. Peter Barton, chant, guitare ; Alan Sagar, basse ; Graham Pollock, guitare ; Geoff Hammond, batterie.
Les Shaggy Dogs diffusent un son rythm’n blues-soul-rockabilly, très inspiré de leur modèle Dr Feelgood. Toujours en grande tenue d’apparat, semblables à un orchestre de revue soul et chic, les Chiens hirsutes montent la garde. Pour grimper à bord de leur machine à remonter le temps, il suffit de mettre de côté sa morosité et se laisser emporter dans le tourbillon du big bang rock’n’roll.
Erja Lyytinen, une guitariste chanteuse finlandaise née à la fin des années 70. Influencée notamment par Aretha Franklin et Bonnie Raitt, Erja sort son 1er album en 2002. Elle en est aujourd’hui à son… dixième ! En 2017, elle reçoit l’Award du « Best BluesGuitarist ». En 2018, elle est invitée sur scène par Carlos Santana. Le maître décrit Erja en ces termes : « She is the future ». Elle intègre à son blues riche en slide, des sonorités Pop et Rock qui lui permettent de mettre d’accord les mélomanes les plus exigeants et le grand public.
« Carnaval » est le premier album du groupe granvillais Black Orpheus et une véritable invitation au voyage et à l’évasion. Accompagnés par Olivier Dupuy à la contrebasse, Jean-Victor de Boer à la batterie, Yves-Marie Guilloux et Marion Caens poursuivent leur chemin vers la construction d’un univers qui leur est propre, alliant puissance et délicatesse, silences et moments de liesse.