Le nouvel album d’Ellinoa, intitulé « Mejiro », sortira le 19 septembre 25 via les petits cailloux du chemin-Inouie distribution.

Un nouvel horizon musical s’ouvre avec « Mejiro », qui marque une étape essentielle dans l’univers en constante évolution de la chanteuse et compositrice Ellinoa.
« Mejiro », qui doit son nom à un quartier de Tokyo et à un petit oiseau endémique du Japon, est une déclaration d’amour à ce pays dont la culture et l’imaginaire ont bercé Ellinoa depuis l’enfance.
Grâce à une instrumentation étonnante qui navigue quelque part entre musique de chambre, jazz et chanson, la chanteuse et compositrice propose un son unique, inouï, marqué par un jeu des contrastes, une ambivalence fondamentale entre ombre et lumière.
Détournant les langages du classique et de l’improvisation pour tracer son propre chemin en-dehors des cases stylistiques, la musique d’Ellinoa, accessible à toutes les oreilles, se déploie avec lyrisme, grâce, légèreté, à l’image des oiseaux réels ou mythiques qui peuplent les paysages japonais.
Fascinée par le Pays du Soleil-Levant, Ellinoa a été bercée par ses arts et sa culture. Pour preuve, s’il en fallait une, le nom « Ellinoa » est la réunion de Camille à l’envers et d’un personnage de jeu vidéo japonais. Même si la mandoline et le violoncelle peuvent évoquer de manière lointaine un koto et une flûte traditionnelle, la compositrice ne cherche ni à jouer ni à s’inspirer de la musique japonaise, mais à explorer la façon dont une partie de cette culture peut générer une créativité folle, ainsi qu’à interroger la vision qu’elle en a aujourd’hui, avec la conscience de toute la part fantasmatique que son regard d’Occidentale est susceptible de charrier. Comme une déclaration d’amour à ce pays à l’imaginaire incroyablement fertile.
Quant aux oiseaux, ils sont partout : dans la voix aérienne d’Ellinoa, dans le lyrisme de la flûte, de la mandoline, dans les titres des morceaux… «The Komadori’s Voice» et «Suzaku» font aussi référence à des volatiles. Le premier est une sorte de rossignol, et son chant est retranscrit dans la mélodie du morceau ; le second est imaginaire, c’est un yōkai, une créature surnaturelle du folklore japonais. Ornithologue amatrice à ses heures !!!
Ellinoa / voix, compositions, arrangements
Christelle Raquillet / flûtes, ocarina, choeurs
Arthur Henn / mandoline, choeurs
Héloïse Lefebvre / violon, choeurs
Mathilde Vrech / alto, choeurs
Juliette Serrad / violoncelle, choeurs