Neal Black revient avec son 12ème album enregistré chez Dixiefrog, le seul label que le Texan ait connu depuis la parution de son 1er opus en 1993 !

Intitulé « A Little Boom Boom Boom », ce nouvel opus sera disponible le 26 juin 2020 via Dixiefrog / pias

Ce Blues a des racines dont le genre est clairement palpable, teintées ici ou là d’accents rock, voire même de clins d’œil latino à l’image d’un « Alabama Flamenco » que n’aurait pas renié Carlos Santana et dont le titre explique à lui seul toute la diversité de cet artiste attachant, émouvant, profond et prolixe en diable !

Neal Black dorenavent installé dans la vallée du Rhône est un compositeur insatiable, devenu avec le temps une sorte de figure tutélaire pour de jeunes artistes français (Gaelle Buswel, Flo Bauer) et un complice de personnalités plus établies sur l’échiquier du blues (Fred Chapelier, Popa Chubby, Taj Mahal, Beverly Jo Scott, Larry Garner, Nico Wayne Toussaint, Manu Lanvin ) avec qui il a co-écrit de nombreux titres. Car sa « plume musicale » est facile, marqué du sceau de l’évidence.

Evidemment, « A Little Boom Boom Boom » ne déroge pas à la règle, l’album se démarquant aussi par sa densité. Porté par sa « smoky voice » comme il aime à la décrire lui-même, Neal Black nous propose là quelques pépites qui ne passeront pas inaperçues, à commencer par « Don’t Follow Me There » dont le potentiel « tubesque » saute aux yeux avec cette ambiance laid-back qui sied aussi à l’univers de l’artiste. Mais on pourrait tout aussi bien citer « Saints of New-Orléans », titre issu d’un précédent album enregistré avec Larry Garner dont de subtils arrangements lui offrent une seconde jeunesse. Sans oublier la chanson-titre qui évoque le Chris Rea de « Let’s Dance », quelques shuffle bien sentis (« Green Bean Swing »« Going Down Together » ou « Shoeshine Together ») ou deux reprises subtiles (« All For Business » de Jimmy Dawkins et « Why Do People Act Like That » du grand Bobby Charles )

Enregistré entre la France, l’Allemagne et le Tennessee avec l’aide de son « touring band », « A Little Boom Boom Boom » est aussi marqué par la présence de quelques guests de renom, tels Robben Ford ou Fred Chapellier et dont les contributions lumineuses sont à la hauteur de cette production tout simplement parfaite.

Le nouvel album studio d’Alcatrazz sera disponible le 31 juillet sur Silver Lining. Intitulé « Born Innocent » il fait suite à « Dangerous Games » sorti en… 1986 !!!

Bien entendu Alcatrazz c’est le groupe de Graham Bonnet, connu pour avoir chanter sur les albums « Down To Earth » de Rainbow et « Assault Attack » de MSG.

Le bonhomme peut tout de même se vanter d’avoir officié aux côtés de guitar heroes tels que Ritchie Blackmore, Michael Schenker, Yngwie Malmsteen, Steve Vai, Danny Johnson, Chris Impellitteri, Bob Kulick, et beaucoup d’autres.

Et pour ce « retour » Graham a tout simplement fait appel à Joe Stump un shreder hors-norme dont on ne saurai trop vous recommander les albums solo.

Cerise sur le gateau, si tout va bien (mieux) Alcatrazz devrait aussi se produire pour la 1ère fois en France avec une date au « Forum » de Vauréal le 03 septembre en compagnie de Girlschool !

Découvrez le 1er extrait du prochain album avec « Polar Bear » :

Les bretons de Silence Radio présente la vidéo du titre « Hasta Siempre » extrait de leur nouvel album intitulé « Le Rock Est Mort ». Il est disponible depuis le 20 mars 2020 via Nevez Prod / inoui.

Depuis 2017, les 5 musiciens de Lorient produisent un rock alternatif puissant et acéré , décoché sans sommation mis en abyme dans la langue de Molière. Témoignage d’un juste équilibre entre puissance et douceur, de mélodies entêtantes et de riffs accrocheurs, Silence Radio s’est enfermé en studio pour enregistrer leur 1er album au titre provocateur  « Le Rock Est Mort ».

« Aux confluents de Noir Désir et No One Is Innocent, la jeunesse de Silence Radio apporte un vent de fraicheur sur le Rock Français.  » « ces artistes secouent leur monde devenu trop sage » – Paris move
 » je peux affirmer que c’est puissant. Voix écorchée, riffs tranchants, le rock (en français) n’est pas mort. Tant que la Bretagne portera le flambeau… » – Songazine
« Au-delà de la provocation, Silence Radio prouve en 12 leçons que le rock survit et, mieux que cela, est loin d’être mort.  » – Bretagne actuelle

Découvrez le titre « Hasta Siempre » en vidéo :

L’album « Live In Europe » de Sari Shorr est disponible depuis le 06 mars 2020. Elle donnera 3 concerts en octobre, à Paris, Villefranche / Saone et Montbéliard.

Sari Schorr est un phénomène vocal à la voix puissante, rauque & douce !!! Sa voix oscille entre celle de Janis Joplin et Tina Turner…!!!

Mike Vernon, l’ancien boss du légendaire label Blue Horizon, ne s’est pas trompé :

« la 1ère fois que j’ai entendu Sari Schorr, c’était en 2015, pendant les légendaires « Keeping The Blues Alive ». La performance de Sari a mis tout le monde d’accord ».

Son producteur Mike Vernon (Peter Green’s Fleetwood Mac, John Mayall & The Bluesbreakers, Eric Clapton, Blue Horizon, etc.), a tout de suite perçu les possibilités de la chanteuse new-yorkaise de Blues-Rock dès qu’il a eu l’occasion de l’entendre, pour la première fois en live en 2015. Il a immédiatement décidé de produire son album. Sari Schorr a écrit ou co-écrit l’ensemble des compositions.

Longtemps choriste de Joe louis Walker et Popa Chubby,  est une habituée de la scène, et a été longtemps choriste de Joe Louis Walker et Popa Chubby. Puis elle décide enfin de donner une vie à ses compostions en formant The Engine Room, avec entre autres, le guitariste anglais Innes Sibun qui tourne habituellement avec Robert Plant.

En 2018, elle sort « Never Say Never », et cette fois-ci, Schorr est allée dans le Norfolk au Grange Studio, là où The Alan Parsons Project avait enregistré son premier disque, il y a bien longtemps. Toujours sous contrat avec Manhatan Records, label ayant publié Eric Bibb, Robin Trower et plus récemment King King, la chanteuse se retrouve sous la coupe du producteur allemand Henning Gehrke.

Ce nouvel album live a été enregistré lors de la dernière tournée et met en valeur la performance vocale de Sari entre chansons originales de ses 2 albums studio et les reprises « Black Betty » et « I Just Want To Make Love To You » très appréciées du public. N’oublions pas les 2 pistes acoustiques inédites enregistrées pour la BBC qui  permettent de découvrir et d’apprécier une autre facette du talent de Sari.

En concert :
08 octobre 2020 : Le Méridien Jazz Etoile – Paris
09 octobre 2020 : Quai 472 – Villefranche / Saone (69)
11 octobre 2020 : Atelier des Môles – Montbéliard (25)

The Dead Daisies viens de dévoiler le 1er single intitulé « Unspoken », extrait de son nouvel album intitulé « Holy Ground » qui sera disponible cet été.

Ce premier morceau marque les grands débuts de Glenn Hughes à la basse et au chant au sein du groupe, en remplacement de Marco Mendoza et John Corabi.

« Holy Ground » est produit par Ben Grosse, connu pour avoir travaillé avec Dream Theater, Marilyn Manson et Sevendust. Il a été enregistré aux studios « La Fabrique », situés dans le sud de la France.

Line up :

Glenn Hughes : chant / basse (Trapeze, Deep Purple, Black Sabbath, Gary Moore, Black Country Communion…)
Doug Aldrich : guitare (Lion, Bad Moon Rising, Hurricane, House of Lords, Dio, Whitesnake…)
David Lowy : guitare (Red Phoenix, Mink…)
Deen Castronovo : batterie (Journey, Hardline, Bad English, Wild Dogs, Steve Vai…)

Thundermother viennent de dévoiler le premier extrait de l’album intitulé « Heat Wave », qui sortira le 31 juillet 2020, via AFM Records. La tournée européenne passera par la France, avec une date unique au Raismesfest le 13 septembre !

Seuls quelques groupes de hard rock de la nouvelle génération ont fait sensation comme Thundermother !

Originaire de Stockholm, Thundermother est l’incarnation vivante du rock’n’roll. Fondé en 2009 par la guitariste Filippa Nässil, le groupe a commencé à monter en flèche sur la scène internationale après que la chanteuse, Guernica Mancini, ait rejoint le groupe il y a deux ans. Avec sa voix teintée de blues digne des plus grandes vocalistes du Rock, les suédoises ont remporté le jackpot. Emmenées par Emlee Johansson à la batterie, les demoiselles démontrent qu’elle peuvent tenir la dragée haute à leurs collègues masculins, et prouver que le rock ‘n’ roll n’est pas un domaine qui leur est réservé.

La frontwoman Guernica Mancini déclare: « Sur scène, nous sommes des musiciens, peu importe qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. »

« Driving In Style » Tracklist :

01. Loud And Alive
02. Dog From Hell
03. Back in ‘76
04. Into The Mud
05. Heat Wave
06. Sleep
07. Driving In Style
08. Free Ourselves
09. Mexico
10. Purple Sky
11. Ghosts
12. Somebody Love Me
13. Bad Habits

Découvrez la vidéo du titre « Driving In Style », extrait de l’album « Heat Wave » :

« A Little Boom Boom Boom », le nouvel album Neal Black & The Healers sortira le 19 juin 2020.

Neal Black revient avec son 12ème album enregistré chez Dixiefrog, le seul label que le Texan ait connu depuis la parution de son 1er opus en 1993 !

Avant toute chose pour ce Blues où les racines du genre sont clairement palpables, teintées ici ou là d’accents rock, voire même de clins d’œil latino à l’image d’un « Alabama Flamenco » que n’aurait pas renié Carlos Santana et dont le titre explique à lui seul toute la diversité de cet artiste attachant, émouvant, profond et prolixe en diable !

Car celui qui s’est installé dorénavant dans la vallée du Rhône est un compositeur insatiable, devenu avec le temps une sorte de figure tutélaire pour de jeunes artistes français (Gaelle Buswel, Flo Bauer) et un complice de personnalités plus établies sur l’échiquier du blues (Fred Chapelier, Popa Chubby, Taj Mahal, Beverly Jo Scott, Larry Garner, Nico Wayne Toussaint, Manu Lanvin) avec qui il a co-écrit de nombreux titres. Car sa « plume musicale » est facile, marqué du sceau de l’évidence.

Evidemment, « A Little Boom Boom Boom » ne déroge pas à la règle, l’album se démarquant aussi par sa densité. Porté par sa « smoky voice » comme il aime à la décrire lui-même, Neal Black nous propose là quelques pépites qui ne passeront pas inaperçues, à commencer par « Don’t Follow Me There » dont le potentiel « tubesque » saute aux yeux avec cette ambiance laid-back qui sied aussi à l’univers de l’artiste. Mais on pourrait tout aussi bien citer « Saints of New-Orléans », titre issu d’un précédent album enregistré avec Larry Garner dont de subtils arrangements lui offrent une seconde jeunesse. Sans oublier la chanson-titre qui évoque le Chris Rea de « Let’s Dance », quelques shuffle bien sentis (« Green Bean Swing », « Going Down Together » ou « Shoeshine Together ») ou deux reprises subtiles (« All For Business » de Jimmy Dawkins  et « Why Do People Act Like That » du grand Bobby Charles »).

Enregistré entre la France, l’Allemagne et le Tennessee avec l’aide de son « touring band », « A Little Boom Boom Boom » est aussi marqué par la présence de quelques guests de renom, tels Robben Ford ou Fred Chapellier et dont les contributions lumineuses sont à la hauteur de cette production tout simplement parfaite.
Par Alain Boucly

La scène Rock havraise a le vent en poupe actuellement, avec de nombreux groupes de qualité, promis à un bel avenir. Distillery fait partie de cette catégorie, avec un second album particulièrement abouti, et une succession de concerts sur des scènes renommées. Il n’en fallait pas plus à Ride The Sky pour s’intéresser de près à ce combo, afin de découvrir leurs secrets…

Merci à John, guitariste de Distillery, d’avoir joué le jeu, et pris le temps de répondre à ces quelques questions pour Ride The Sky.

– Peux-tu résumer les grandes lignes de la carrière de Distillery depuis sa création ?

Le groupe est issu d’une discussion au cours d’une soirée d’amis musiciens, (issus du Metal pour la plupart) qui décident de faire du Hard rock. Le nom du groupe a été trouvé avant même que des compos sortent (rires). Ça a commencé début 2014 par des reprises, pour finalement évoluer très vite vers des compos. Le line-up original se composait de 3 guitaristes, ce qui était intéressant dans le sens où on voulait apporter quelque chose de nouveau. Le premier album, « LH overdrive » est sorti rapidement (en 2016), enregistré et masterisé à la maison. Nous avons eu ensuite pas mal de plans avec des concert vraiment sympas, dont une date à Caen, dans la super salle du BBC.
D’ailleurs nous avons tenté le tremplin Emergenza qui s’est arrêté pour nous à la l’issue de la seconde étape, malheureusement.
Dès l’entame de la composition du second album, quelques tensions sont apparues dans le groupe (qui n’ont rien à voir avec la musique), provoquant le départ de 2 des 3 guitaristes. Fin 2017, nous décidons de rebondir rapidement en embauchant Damien à la guitare et de revenir à une formation classique. Le groupe est constitué ainsi depuis 2 ans et demi. Avec un peu de recul, nous avons décidé de nous investir encore un peu plus parce qu’on se disait qu’il y avait vraiment moyen de faire quelque chose, surtout avec l’arrivée de Damien. Le 31 mai 2019 nous sortons « A Glass of Jack », en CD et Vinyle. Il s’en est suivi quelques dates, dont une en particulier qui nous a marqué.

En septembre 2019 nous avons joué au Magic Mirrors (Le Havre ndr) en première partie de Phil Campbell and the Bastards Sons. Nous avons eu aussi de très bonnes chroniques de l’album, comme celle de Metallian n°114 qui nous encourage à poursuivre. Nous avons de plus en plus d’abonnés sur Facebook et plusieurs clips sur You tube dont quelques live. Je pense que nous souffrons encore d’un manque de visibilité, ce qui peut s’expliquer par la multitude de groupe qui se gèrent en autoproduction, et de ce fait, n’ont pas la possibilité de se distinguer. Le troisième album est en écriture et nous préparons la sortie du confinement pour refaire de la scène !

– On met souvent des étiquettes sur les groupes, et tu n’échappes pas à la règle… Comment définirais-tu Distillery?

Au départ, on cherchait un croisement entre le blues et le hard rock. Cela s’entend sur le premier album. Puis avec le changement de line-up et les compos actuelles, je dirai que l’on joue du Hard Rock qui a tendance à tirer vers le Heavy Metal, parfois un peu stoner. On ne cherche pas à jouer un style en particulier mais à jouer ce qu’il nous plait sans réfléchir à l’étiquette que l’on va nous coller. Après, avec le temps on se rend compte que dans notre style, et bien il n’y a pas ou plus vraiment de place dans les festivals. On a un peu de mal à rentrer dans les concerts metal et en même temps on ne peut pas jouer à la sortie de l’église le dimanche non plus. Il existe des festivals heavy metal, black metal, thrash ou autre, et finalement nous on est un peu dans tout ça et nulle part à la fois. Les gens qui nous offrent la possibilité de jouer nous font généralement confiance, car ils aiment ce que l’on fait, mais aussi parce que nous sommes loin d’être des débutants. Avec le recul, notre musique ne se situe pas dans une mouvance particulière, d’où la difficulté de se faire une place. Après, peut-être que c’est une opportunité de se mettre en avant, je ne sais pas…

– Si tu devais convaincre quelqu’un d’écouter votre musique, que dirais-tu ?

Je lui proposerais d’aller voir un clip sur You tube. En effet, je pense que l’on véhicule une image avec notre musique, et par expérience, souvent les gens accrochent parce qu’ils nous voient ensemble, unis avec nos instruments avec des belles voitures, de belles femmes, sur scène, dans des bagarres, etc. Sans oublier le logo du groupe en fond (en ajoutant à cela notre amour pour le bourbon).

– Quelles sont vos influences ?

Très diverses, nous sommes tous assez éclectiques mais ce qui nous réunit est avant tout des groupes comme AC/DC, Motörhead, Twisted Sister, Metallica, Megadeth, Iron Maiden, Dio, Black Sabbath, Judas Priest, Helloween, classique quoi !

– Qu’écoutes-tu en ce moment ?

Je réécoute un groupe de thrash des années 80-90 peu connu et qui n’a pas survécu à l’an 2000 : Wargasm. 3 gaziers avec une patate incroyable et surtout d’excellents musiciens peut-être un peu en avance sur leur temps. Leur album « Why Play Around » de 88 est juste une merveille. Ils auraient mérité d’être sur le devant de la scène au même titre qu’un Megadeth, Slayer ou autre.

Je découvre aussi en ce moment les albums de Megadeth qui non pas trop marché ou critiqué (« Cryptic Writings », « Risk »,…). C’est intéressant de voir avec le recul comment un album qui pouvait être réprimé car n’entrant pas dans les codes du groupe à l’époque peut être un pure merveille de composition (je ne dis pas que tout est bon quand même !). Ça m’a un peu fait le même effet qu’avec « Chinese Democracy » des Guns qui est juste un pur album, même s’il n’est pas un « bon album des Guns ».

– Quel bilan faites-vous, près d’un an après la sortie de votre 2ème album « A Glass Of Jack » ?

On est fier de cet album parce que l’on a vraiment progressé depuis le premier. Nous avons pris le temps nécessaire aussi pour travailler le chant, et le son est vraiment très bon,, dans le sens ou on n’a pas à rougir par rapport à de grosses productions. On a rapidement commencé à composer d’autres morceaux : l’inspiration est toujours là et nous savons que nous avons encore une marge de progression. Le public nous suit et nous n’avons que de bons retours de nos live. Non seulement des gens qui viennent nous voir, mais aussi des organisateurs de concerts ou même des techniciens avec lesquels on a travaillé. Comme je le disais précédemment, il nous manque le petit truc qui nous mettra un peu plus en lumière. On fait ça avant tout pour se faire plaisir car bien sûr, à nos âges, on a nos familles nos boulots et nous ne sommes pas dans un objectif de carrière au sens que l’on veut en vivre. Mais on a tous les 5 les mêmes rêves de pouvoir se produire dans des festivals à grande échelle.

– Avez vous commencé à travailler sur le prochain opus et quelles en seront les principales orientations ? Faut il s’attendre à une évolution des compositions ?

Clairement, et ce dès la sortie de « A Glass of Jack ». On a une dizaine de compos en cours. En ce qui concerne une évolution, on se pose justement la question. pas tant sur les compos mais plutôt sur le son et le chant. Est-ce qu’on fait juste une suite, est-ce qu’on se risque à faire autrement ? Disons que l’on a le contenu mais que le contenant nous fait encore réfléchir.

– Avec Dirty Dogz, on vous voit souvent sur la même affiche. Y a t’il une raison particulière ?

Nous avons fait un concert avec eux dans un pub au Havre il y a quelques années quand ils démarraient et on en connaissait certains du groupe parce qu’ils jouaient aussi dans Bloody Rosie (Cover AC/DC). Nous leur avons proposer de faire notre première partie lors de notre release party de « A Glass of Jack » parce qu’on trouvait que leur univers musical était assez proche du notre. Je pense que le côté « AC/DC » nous a rapproché. Et puis les gars sont sympas !

– Comment choisissez-vous les titres de la set list de chaque concert ? Avez vous des morceaux incontournables ?

C’est souvent le sujet où nous avons du mal à nous mettre d’accord au départ. Effectivement nous avons nos incontournables comme « Prisoner of Rock’n Roll », « Insane », « The Power of Song ».  Après, certains d’entre nous souhaitent éviter de faire trop de changement, alors que d’autres aimeraient intégrer des nouveautés. Au final, on trouve toujours un compromis. L’exercice est intéressant en tout cas, même s’il nous coute cher parfois en apéro (rires)

– Quel est ton avis sur la situation du metal en France, et son évolution lors de ces dernières années ?

Je ne suis plus autant qu’avant l’actu du metal français, mais j’écoute ce qui passe entre mes mains ou celles de Damien avec qui nous échangeons énormément. Pour rejoindre un peu ce que je disais avant, si les groupes n’ont pas une étiquette particulière on ne les mets pas en avant c’est parfois dommage. On a eu l’occasion de jouer avec de très bon groupes qui sont parfois encore plus dans l’ombre que nous alors que ce sont de vrais artistes, expérimentés pour certains.

Cela dit, j’ai quand même l’impression qu’il y a un peu moins l’effet de mode qu’à une certaine époque et que chacun écoute ce qu’il veut sans culpabilité. Et puis, le public metal est quand même composé majoritairement de gens très tolérants, ce qui n’est pas le cas de tous les publics !

– Quels sont vos projets et dates de concerts prévues ?

Avec le confinement, de nombreuses dates ont été annulées. Nous en re-planifions certaines mais pour l’instant c’est encore flou. Nous allons continuer à travailler le 3ème album.

– La question que tu aurais aimé que je te pose ?

Comment un groupe de copains qui font ça d’abord pour s’amuser, qui n’en tire aucun revenu et qui a du mal à se faire connaitre tiens encore au bout de 6 ans ? Il y a avant tout l’amitié qui est souvent mise à l’épreuve par la vie et les événements parfois très perturbants et puis les idées. Nous avons vraiment encore de la matière, avec plein d’idées de choses à faire sur scène. J’aime bien lire en ce moment quelques biographies de groupes connus, et en ayant connaissance de leur intimité, tu te rends compte que connu ou pas, les bonheurs et les difficultés sont au final à peu près les mêmes. En tout cas, quand on se retrouve derrières nos instruments à jouer, c’est toujours du bonheur et tant qu’il y aura ça, ça continuera.

– Je te laisse le mot de la fin !

Merci pour l’intérêt que vous portez au groupe. J’espère que mes réponses cette interview est à la hauteur de ce que tu souhaites et que nous aurons l’occasion de te croiser à une de nos prochaines dates !

Merci beaucoup pour ta patience et ta participation à cette interview

Photos prises au McDaid’s et au Tétris / Le Havre
© Alain Boucly

Le groupe de Metal Symphonique  Beyond The Black sortira son nouvel album le 19 juin 2020 via Napalm Records. Le futur opus de la formation allemande, emmenée par la chanteuse Jennifer Haben, s’intitule « Horizons » et contient 13 morceaux.

Track Listing :

01. Horizons
02. Misery
03. Wounded Healer (feat. Elize Ryd)
04. Some Kind Of Monster
05. Human
06. Golden Pariahs
07. Marching On
08. You’re Not Alone
09. Out Of The Ashes
10. Paralyzed
11. Coming Home
12. I Won’t Surrender (feat. Tina Guo)
13. Welcome To My Wasteland

Découvrez le premier extrait de l’album « Horizons » avec le titre « Misery » en vidéo :

Beyond The Black et Amaranthe partageront la même affiche de la future tournée européenne, qui s’arrêtera en France pour 3 dates. Les 2 groupes seront en co-headliner le 20 novembre à Paris « Elysée Montmartre », le 21 à Bordeaux et le 25 à Lyon.
Cette tournée exceptionnelle promet une expérience visuelle nouvelle pour une prestation live des plus intense !

« Fields Of Blood », le nouvel album de Grave Digger,  sortira le 29 mai 2020 via Napalm Records. Le groupe allemand sera à l’affiche du Festival de Vouziers qui aura lieu le 31 octobre 2020.

Avec des hymnes métal comme « Heavy Metal Breakdown », Grave Digger est devenu l’un des groupes les plus influents de la scène heavy metal allemande depuis le début des années 80. 2020 célébrera le 40e anniversaire de ces maîtres teutoniques du métal !

Avec leur 20e album studio, intitulé « Fields Of Blood », le groupe emmené par le  chanteur Chris Boltendahl continue son histoire épique des Highlands ! « Fields of Blood » est la suite logique d’une trilogie légendaire et d’une bataille auditive de métal traditionnel unique. Prévu pour sortir le 29 mai via Napalm Records, « Fields Of Blood » nous emmènera dans un voyage émotionnel à travers l’histoire écossaise et dans des paysages sonores explosifs. Des riffs et des refrains épiques s’associent avec les fameux « Great Highland Cornemuses ». Dans les Highlands, les champs de bataille de Stirling, Bannockburn et Culloden, l’auditeur se retrouvera sur une montagne russe entre chagrin et triomphe, souffre et gagne avec les combattants écossais de la liberté. Après « The Clans Will Rise Again » et « Tunes Of War », Grave Digger clôt leur saga Highland dans un style épique. Aujourd’hui, le groupe emblématique a non seulement dévoilé les incroyables illustrations de l’album, mais partage également un premier single de l’opus magnum épique, « All For The Kingdom » ! Et bon sang oui, ce morceau définit parfaitement le décor de la dernière partie tant attendue de leur trilogie écossaise des Highlands: « All for the Kingdom » est une chanson impitoyablement épique qui montre la direction du nouvel album de Grave Digger. Aucun prisonnier n’est fait ici, et Grave Digger démontre ce qu’il fait de mieux, même après 40 ans de son impressionnante histoire. Des chœurs et des riffs qui vous entaillent les artères, ainsi que des centaines de milliers de Highlanders restés sur les champs de bataille, croyant en une vie meilleure dans la liberté et l’indépendance.

« Nous l’avons fait à nouveau et mis les kilts … comme nous avons toujours été fascinés par l’Ecosse et son histoire. », Dit le leader Chris Boltendahl. « Pendant longtemps, nous avons réfléchi au moment opportun pour retourner dans les Highlands, plonger dans leurs légendes et mythes. Le 40e anniversaire de groupe semble être la bonne occasion pour cela et nous vous emmenons donc en voyage pour la troisième fois. Mettez les kilts et sortez vos épées et vos haches, suivez-nous à Stirling et Culloden et vivez de près l’histoire écossaise, authentique et émotionnelle ». Comme William Wallace / Braveheart l’a dit : « Oui, ils peuvent nous tuer. Mais ils ne nous priveront jamais de notre liberté! »

Tracklisting :

01. The Clansman’s Journey
02. All For The Kingdom
03. Lions Of The Sea
04. Freedom
05. The Heart Of Scotland
06. Thousand Tears
07. Union Of The Crown
08. My Final Fight
09. Gathering Of The Clans
10. Barbarian
11. Fields Of Blood
12. Requiem For The Fallen

Regardez la toute nouvelle vidéo de Grave Digger avec « All For The Kingdom » :

Grave Digger sera en concert le 31 octobre au festival de Vouziers (08) en compagnie de Lee Aaron, Titan, Desolation Angels

Line up
Chris Boltendahl – Vocals
Axel Ritt – Guitar
Jens Becker – Bass
Marcus Kniep – Drums